L’investissement immobilier est à ce jour l’une des solutions les plus efficaces pour défiscaliser. De fait, le secteur de l’immobilier propose plusieurs dispositifs de défiscalisation aussi avantageux les uns que les autres. Selon votre profil d’investisseur, vous pouvez donc choisir la solution qui vous convient. Quels sont donc les dispositifs de défiscalisation immobilière les plus utilisés ?
La loi Pinel
La loi Pinel est un dispositif de défiscalisation via l’immobilier locatif. Elle vous permet de déduire de votre impôt sur le revenu, ceci selon un pourcentage précis, le prix d’achat d’un logement neuf destiné à la location. Si vous souhaitez investir dans l’immobilier via la loi Pinel, les services du stratège en rentabilité immobilière Bertrand-Demanes.fr vous seront sans doute utiles.
Via cette solution de défiscalisation, vous pouvez bénéficier de déduction d’impôt sur 6, 9 ou 12 ans selon la durée de votre engagement. Dans tous les cas, le cumul de votre réduction d’impôt sera de 63.000 euros sur 12 ans. Vous n’aurez qu’à vous engager à mettre votre bien en location pendant toute la durée de votre engagement, en appliquant un loyer plafonné selon la zone géographique.
Les SCPI, une solution parfaite pour défiscaliser
Au nombre des investissements immobiliers, les Sociétés Civiles de Participation Immobilière (SCPI) ont considérablement gagné en popularité. Avec ce type d’investissement, vous n’êtes pas propriétaire. Vous n’avez qu’à financer un parc immobilier avec votre argent pour espérer des revenus locatifs et une défiscalisation avantageuse.
Il existe plusieurs types de SCPI selon les dispositifs de défiscalisation. On compte à cet effet les SCPI en loi Pinel, les SCPI en loi Malraux, les SCPI en Location Meublées Non Professionnel (LMNP). Les SCPI cumulent donc l’idée d’une rentabilité conséquente en comparaison à la pierre classique et les avantages fiscaux qui les caractérisent.
La solution du déficit foncier
Si vous envisagez de défiscaliser via l’immobilier ancien, c’est sans doute le mécanisme qui s’y prête le mieux. Il consiste en effet à générer un déficit foncier en entreprenant des travaux dans un bien immobilier destiné à la location. Le montant de ces travaux doit être supérieur à vos revenus fonciers. Ici, les montants des travaux d’entretien, d’amélioration ou de rénovation sont déductibles des revenus imposables, à l’exception des travaux de construction ou d’agrandissement.
Sur une année, ce montant est limité à 10.700 euros. Toutefois, les déficits non exploités en années N peuvent l’être dans les 10 années suivantes. Vous pouvez ainsi étaler votre défiscalisation sur plusieurs années, tout en optimisant la valeur de votre logement. Au moment de le louer ou de le vendre, vous pouvez espérer une somme conséquente.
Les autres mécanismes de défiscalisation immobilière
La défiscalisation immobilière peut s’envisager via d’autres mécanismes outre ceux que nous venons de présenter. Pour défiscaliser grâce à la pierre, nous préconisons également la défiscalisation par la loi Malraux. Avec la loi Malraux, vous pouvez déduire de votre impôt sur le revenu, 22 à 30% des frais engagés pour des travaux restauration d’un immeuble classé. La limite ici est de 100.000 euros de travaux annuels pendant au plus 4 années successives. Nous pouvons aussi vous conseiller :
- Le dispositif Censi-Bouvard,
- Le dispositif Denormandie,
- L’investissement en nue-propriété,
- La loi Madelin,
- La location meublée.
Avec toutes ces possibilités de défiscalisation, vous trouverez certainement celle qui est mieux adaptée à vos objectifs. Vous pouvez lire également : quel est le rôle d’un promoteur immobilier ?