Beaucoup de Français rêvent d’aménager en Espagne. Les plages et le soleil de ce beau pays ont un grand pouvoir de séduction, mais ne constituent pas ses seuls atouts. En effet, le secteur immobilier y est fortement développé et très bienveillant en ce qui concerne les investissements étrangers. Pour cette raison, de nombreux Français choisissent d’y acheter leurs résidences secondaires. Le prix du mètre carré y est assez bas en comparaison à celui des villes de France. Toutefois, il faut s’informer sur les frais annexes à la vente.
Les différentes taxes immobilières
Ici, il faut prendre en compte la taxe foncière et la taxe d’habitation. Elles doivent être payées chaque année. En fonction de l’âge du logement que vous achetez, d’autres taxes entrent en jeu. Si vous achetez une vieille bâtisse, vous devrez payer l’impôt sur le transfert de propriété. Le taux d’imposition varie en fonction de la ville où vous êtes. D’une manière générale, il devrait vous coûter entre 6 à 11% de la valeur globale de l’achat. Ensuite, il y a la taxe sur la documentation juridique qui représente entre 0.5 et 1.5% de la valeur totale du bien. Pour l’achat d’une villa à vendre en Espagne, vous devrez aussi compter les frais de notaires et ceux de l’inscription au Registre de la Propriété.
Les frais supplémentaires à prévoir
Dans ce groupe se retrouvent tous les paiements à verser aux différents intermédiaires de vente. De l’agence immobilière à l’avocat spécialisé, vous devrez inclure leurs honoraires dans le prix réel de votre maison. Avant de vous lancer dans des travaux de bricolage ou de rénovation, vous devrez bien vous rassurer de faire inscrire votre bien au Registre de la Propriété. C’est cette déclaration qui fera de vous le propriétaire légal de votre maison. Si vous avez choisi d’acheter un bien neuf, alors vous devrez payer la taxe sur la valeur ajoutée, car la vente de ce type de bien y est soumise.